Billy Gibbons s’est associé à Elvis Costello pour jouer des classiques de ZZ Top lors d’un concert de charité à Nashville dimanche 12 mars.
Gibbons et Costello ont joué une série de tubes, dont " Sharp Dressed Man ", " Jesus Just Left Chicago ", " Thunderbird " et " La Grange " de ZZ Top. Gibbons a également improvisé sur " I Thank You " de Sam & Dave, " Sweet Home Chicago " de Robert Johnson et la chanson de rappel habituelle de Costello, " (What’s So Funny ‘Bout) Peace, Love and Understanding ".
La vidéo de " Jesus Just Left Chicago " (via Ultimate Classic Rock) montre Gibbons, Costello et le reste du groupe jouant un arrangement plus musclé puisqu’il y avait environ deux fois plus de musiciens sur scène que lors d’un concert habituel de ZZ Top. L’arrangement à deux guitares (inhabituel puisque Gibbons est le seul musicien à six cordes de ZZ Top) lui a permis de se mettre un peu en retrait, tout comme les claviers de Steve Nieve.
Le concert a été organisé au profit de la Musicians Treatment Foundation, qui " aide à fournir des soins chirurgicaux et non chirurgicaux gratuits et peu coûteux pour les blessures à l’épaule, au coude et à la main des musiciens professionnels non assurés ou sous-assurés ". Parmi les autres musiciens qui ont participé à l’événement, citons Daryl Jones des Rolling Stones et le guitariste Charlie Sexton, qui joue dans le groupe de Bob Dylan.
Costello a récemment terminé un engagement spécial de 10 soirées à New York qu’il a appelé " 100 Songs and More " au cours duquel il a joué une setlist unique chaque soir en solo, avec des invités spéciaux et avec Nieve. Lors de la première soirée, il a rendu hommage à son collaborateur de longue date, la légende de la chanson Burt Bacharach, aujourd’hui décédé. Le concert a eu lieu le jour de l’annonce de la mort de Bacharach. " La journée a été difficile, je ne peux pas le nier, a-t-il déclaré au public. Un grand homme nous a quittés hier. Et quand quelqu’un atteint un grand âge, les gens disent : " Eh bien, c’était une bonne fin ". Oui, il n’est jamais temps de dire au revoir à quelqu’un quand on l’aime. Je n’ai pas honte de dire que j’ai aimé cet homme pour tout ce qu’il a donné, M. Burt Bacharach. "
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